Artistes
Cécile Paris
Solo exhibitions
2015
- «Conduire, danser et filmer », Passerelle Centre d'Art Contemporain Brest
- «L'italie », Musée des Beaux arts Rennes
- «Extradiégétique », Galerie Dulcie École des beaux‑arts Nantes
2014
- «Les Italiens, un début, un milieu et une fin», Passerelle Centre d’art contemporain de Brest
2013
- «Club Delacroix, Code de nuit ⓒ », Institut francais culturel de Tanger Maroc
2011
- «Rythme », Musee d’art moderne de la Ville de Paris
2010
- « De peur qu’il n’y ait que cette nuit », Heidi Galerie Nantes
2008
- «chez Ferragamo Londres», Paradis Frieze Art Fair
- «Le Sens de la nuit », Le Lieu unique Nantes
- «Te dire », Le Pavillon Pantin
2007
- «Mensch und Ornament », Galerie Kunst Buro Berlin
- «Occupation 10 », MAC/VAL, Musee d’art contemporain du Val‑de‑Marne Vitry‑sur‑Seine
2006
- «Cocktail », Galerie Michael Steinberg New York
- «Ambiance », Musée de l’objet, Blois
2005
- «Le Manque de naturel », Musee de Luxeuil-les-Bains
- «Blind Date », Galerie Eric Dupont Paris
2004
- « 3 Videos and 3 Songs », Location 1 New York
- «Paris Parade », Carte blanche à Cécile Paris, dans le cadre de Lille 2004 Lille
2003
- «Vertes», Le Triangle Centre d’art de Rennes
- «Variété », Galerie Eric Dupont Paris
2002
- «Lux », Le Granit, galerie du théâtre Belfort
2000
- «Visions d’images », Image / Imatge, Orthez
Group exhibitions
2019
- «La page manquante », musée des moulages, Paris
- «Codigo Abierto », CentroCentro, Madrid, Espagne
2018
- «La nouvelle adresse », cnap, Pantin
- «Sans réserve », musée Macval, Vitry sur Seine
2017
- «Tainted Love», Confort Moderne, Poitiers
- «Videobox», Carreau du Temple, Paris
2016
- «Microscopie du banc », la Graineterie, Centre d’art de Houilles
- «Mono poly», FRAC Poitou-Charentes, Linazay
2014
- « Des choses en moins, des choses en plus », Palais de Tokyo Paris
2013
- «Water Diary », Frac Haute‑Normandie Rouen
2012
- « Vivement demain », MAC/VAL, Musee d’art contemporain du Val‑de‑Marne Vitry-sur-Seine
2011
- «Collector, Code de nuit ⓒ», Le Tripostal Lille
- «Autre pareil », Musée des beaux‑arts de Dunkerque
2010
- « Let’s Dance », MAC/VAL, Musee d’art contemporain du Val‑de‑Marne Vitry-sur-Seine
- «En t’attendant », L’Espace d’en bas Paris
- «Emporte-moi », MAC/VAL, Musee d’art contemporain du Val‑de-Marne Vitry-sur-Seine
2009
- «Sweep me of my feet », Musee national des beaux-arts du Quebec Quebec, Canada
- «Popisme 5 », Le Lieu unique Nantes
- «Les Grandes Vacances », Maison d’art Bernard-Anthonioz Nogent‑sur-Marne
- «Parcours contemporain », collection permanente Musée d’art moderne de la Ville de Paris
- «Sculpteurs de trottoir», Le Quartier Centre d’art contemporain de Quimper
2008
- «Je reviendrai, collection permanente », MAC/VAL, Musee d’art contemporain du Val-de-Marne Vitry-sur-Seine
- «Prêt-à-porter », Kasseler Kunstverein Kassel, Allemagne
2007
- «Playback », ARC/Musée d’art moderne de la Ville de Paris France, exposition imaginée par Cécile Paris, La Générale, Paris
2006
- «Accords excentriques », Domaine départemental de Chamarande
- «Cérémonie », Espace croisé Roubaix
2005
- «Dockwatchers », Wyspa Progress Foundation Dantzig, Pologne
- «If you see something say something », At Home Gallery Bratislava, Slovaquie
2004
- «Maison/Témoins », The Store Paris
2003
- «Singuliers voyages », Domaine départemental de Chamarande
- «Popisme », Villa du Parc Centre d’art contemporain Annemasse
2002
- «Zivio », Collegium Artisticum Sarajevo, Bosnie-Herzegovine
- «En Petitland», ADDC, Centre d’art contemporain Perigueux
2001
- «Traversées », ARC/Musee d’art moderne de la Ville de Paris
- «Street Life », Galerie Chez Valentin Paris
1999
- « Faut-il rappeler les amours de vacances ? », La Galerie Centre d’art contemporain Noisy-le-Sec
1998
- «La Ville en projets », Le Magasin Centre d’art contemporain, Grenoble
Publications, broadcasts
2015
- «Cécile Paris : Présentation Naïca Edition»
Cécile Paris s’attache aux potentiels fictionnels de l’image et du son.La ville et ses cultures est, pour elle, un terrain de jeu à découvrir, expérimenter et inventer. Elle puise dans les formes dites populaires dans un véritable travail de reprise, au sens musical du terme. Rejouant et rechargeant un héritage culturel occidental, elle mène en creux une mise en question de la (dé)construction de l’identité. Avec une esthétique bien balancée, un rapport d’énergie et de sentiment créé par le son et l’image, l’écriture en image de Cécile Paris travaille le micro-récit qui s’épanche au frottement de la rêverie personnelle. Pas de montage, pas d’effets, pas d’histoire mais comme une chanson, un refrain fait d’images, elle offre une vision personnelle d’un monde où flotte un parfum de regret, quelque chose de romantique mêlé à une rébellion masquée.