Eva Gerson

L’Hôte elle a une longue chevelure blonde un peu terne. Faut dire qu’elle n’est pas de la première fraîcheur, soixantaine écraséepar la peur et le botox l’argent de son mari lui permet de s’occuper tous les jours du décor d’une énorme baraque plus organiser des parties fines rien de sexuel hélas avec un buffet d’aliments fibres hélas. Je dois avouer par un fantasme sorti d’un autre présent ce soir-là avoir pris un certain plaisir à enfourcher l’Hôte comme un vieux cardiaque que je ne suis pas dans un lit rond, d’eau peut-être, conjugal j’espère. Ce dont je me souviens davantage ce soir- là, j’aurais dû les dessiner ces toilettes ne répondant à aucune logique environ 20 mètres carrés, au sol une alternance d’un carrelage granuleux avec une matière mémoire de forme et au centre un engin classique à cuvette blanche parfaitement centré à son tour sur un socle d’1 mètre de haut qui semble comporter une petite trappe vers le bas bien camouflée, escalier derrière bien sûr pour ne pas gâcher l’harmonie de la pièce la curiosité me rendant infréquentable rongé d’un côté alcolo affligeant bras pendants corps raide métronome d’avant en arrière bouche entrouverte yeux dans le vide regardant la liste monovisible des possibilités je dus aller me donner un court instant à cet incroyable endroit qui réussit à encore me surprendre en aspirant telle une paille l’urine et gobant à l’image des trains le reste. A ma sortie l’Hôte en robe dite sexy, se remettant du rouge à lèvres Lancôme sur ses lignes asséchées me propose de passer la nuit avec elle il est déjà 5 heures moi je pense toujours à ces incroyables chiottes alors je réponds d’un oui qui vient de la musique ou des toilettes tant d’entrain. Les invités dont une grasse brochette institution, légèrement plus grande que les artistes de passage accidentel, tentent de tarir le champagne sans fin car entre la poignée eau chaude et eau froide du robinet ces voyants du uxe ultime ah ah en ont fait rajouter une de champagne frais jaune pisse la poignée bien sûr je me ressers une bouteille alors que l’Hôte tente de me faire un envoûtement pour que je me retrouve de nouveau nu sur elle étoile. Surprise c’est pas la même chambre ça me redonne de l’appétit et pire les fabuleuses toilettes sont adjacentes, putain je bande, et puis bien. Elle est increvable l’Hôte moi j’adore baiser on s’en donne à cœur joie dans tous les sens et vitesses sans aucun mot nous n’aimons pas le même vocabulaire première règle je m’endors bien mérité la bite reprenant son souffle pour offrir à la dame la dose du matin qu’elle mérite. Mais en plein milieu de la nuit (10 heures à vue) suis réveillé par un chuchotement venant des fabuleuses toilettes je m’approche à 4 pattes toujours à poil eh eh et passe un oeil discret dans l’entrebâillement l’Hôte est allongée nue sur le ventre les jambes écartées et les fesses cambrées elle jouit en silence jouissance ponctuée d’ultrason que seul l’homme nu entend, son mari est derrière elle la main enfouie à la deuxième place je commence à me toucher jusqu’au moment où je comprends cette action et les Toilettes L’homme est aussi très excité mais habillé il est à genoux au pied du trône collé au socle la main gauche plongée dans la discrète trappe tentant d’y saisir quelque chose et l’autre fait des va-et-vient dans l’Hôte au début de l’Extase Il sort du socle des toilettes une grosse poignée de merde s’affaire à fabriquer tel un pâtissier des petites boules qu’il dépose / en pose. Il répète le geste l’Hôte a dû placer sa main en elle car le pâtissier est au travail avec la pâte des invités plus il y a de boules plus les fesses de l’Hôte montent vers le plafond toujours sans que sa tête touche le sol après tout on met pas sa tête par terre dans des chiottes. Lesinfrasons augmentent les ultrasons augmentent les infrasons augmentent Puis après avoir rempli son Hôte des invités, il partit rejoindre la jeune femme qui l’attendait dans son lit la vingtaine juste assez passée pour qu’il la baise sans remords et comme elle le mérite du coup un peu sonné mais toujours en érection je repartis au lit attendant l’Hôte pleine d’inconnus