Erosion, 2019

Fanette Baresch

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Fanette Baresch, «Erosion 1», 2018, Encre sur papier, 30x30 cm
Fanette Baresch, «Erosion 2», 2018, Encre sur papier, 30x 30 cm
Fanette Baresch, «Erosion 3», 2018, Encre sur papier, 30 x 30 cm
Fanette Baresch, «Blessures», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 1», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 1», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 1», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 2», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 2», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 2», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 3», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 3», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 3», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 4», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 4», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 4», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 5», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 5», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Ecorché•es 5», 2018, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Naufrage», 2019, Encre sur papier
Fanette Baresch, «Cris», 2019, Encre sur papier

Erosion, 2019

D'après des photographies de famille

La famille est comme un fil, une trame qui lie et relie sans jamais se rompre. Comme des strates qui se superposent au fil du temps pour se solidariser. Comme un roc, une roche. Et pourtant l’image est brouillée, le vide est palpable. Tous emmêlés et tous indifférents, tous embrouillés et absents. Effacés dans l’invisible et le silence, sourds à la blessure qui se répand. Le fil est un serpent qui tue et nous efface au fil du temps.