Le projet propose aux élèves de construire une sculpture, une installation sonore et visuelle, à partir d’objet récupérés chez eux, au sein de l’établissement scolaire ou auprès des collectivités locales.
L’œuvre fait parti de la galerie d’art de la cité scolaire Rosa Park.
Le Lowtech réutilise la fonction ou le sens d’objets désuets, souvent glanés ou récupérés dans les marchés de seconde main, pour participer à la construction mentale d’une installation artistique.
On peut utiliser le design, la masse, la force mécanique ou la fonction réelle de l’objet, tout l’enjeu étant de produire une idée sans faire marcher l’économie polluante planétaire ou plus simplement de créer à moindre coût. Le Lowtech est une démarche volontaire dans les pays riches et un besoin devenu pratique ordinaire dans les pays du sud pour le badaud comme pour l’artiste.
Le Lowtech est donc derrière un aspect ingénu une réelle démarche écologique et sociétale volontaire. Il fonctionne souvent de paire avec le Copyleft et les mouvements de libres pensées.