Bestiarium (étude sur la vie des choses), 2023

Guillaume Jezy

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Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2023, colored pencils, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2023, acrylic paint, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2024, colored pencils, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2023, colored pencils, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2023, acrylic paint, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2024, colored pencils, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2023, colored pencils, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy, «Bestiarium (étude sur la vie des choses)», 2023, acrylic paint, photographie : Guillaume Jezy

Bestiarium (étude sur la vie des choses), 2023

2023 (en cours) - crayons de couleur - 30x40cm
2023 (en cours) - acrylique - 21x29,7cm

Inspirées des bestiaires réalisés d’après des récits de voyage, les formes naissent d’une première commande à un logiciel en ligne générateur d’image à partir d’une phrase associant « chien », « chat » et « loup » à des émotions et situations humaines. Comptant parmi les plus archaïques disponibles gratuitement, l’IA convoquée produit ensuite des images toujours uniques mais de qualité discutable. Des éléments sélectionnés au sein de ces productions virtuelles s’articulent par le dessin au crayon. De ces images inégales réalisées par la machine, une nouvelle est créée en s’appliquant à adoucir et harmoniser les incohérences. Dans un registre SF, ce travail s’amuse à envisager l’IA comme un oracle, une entité atemporelle communiquant tant bien que mal les mutations des espèces dans une époque future peut-être sans technologie numérique et sans humain. Le dessin est l’interprétation de ses visions.