Hortus Immortalis, 2017

Sachiko Morita

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Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, photographie : Sachiko Morita
Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, photographie : Sachiko Morita
Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, photographie : Sachiko Morita
Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, photographie : Sachiko Morita
Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, photographie : Sachiko Morita
Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, Galerie Octagone, Paris, photographie : Sachiko Morita
Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, photographie : Sachiko Morita
Sachiko Morita, «Hortus Immortalis», 2017, photographie : Sachiko Morita

Hortus Immortalis, 2017

photographie argentique sur papier aquarelle 29 × 21 cm Galerie Octagone Paris et du 9 au 12 novembre 2017 À l’occasion de PARIS PHOTO, Le Meurice / Galerie Castiglione /  228 RUE DE RIVOLI  75001 Paris commissariat Blandine Chambost

Dans le prolongement de l’exposition Jardins au Grand Palais, cet accrochage proposé par Blandine Chambost et Emmanuel et Laurie Marty de Cambiaire a réuni deux femmes artistes, distantes de deux siècles, mais qui partagent un même talent pour immortaliser la beauté du végétal. Maniant chacune le pinceau, l’une produit des peintures au rendu quasi photographique, tandis que l’autre réinvente le langage argentique. Saisi par cette singularité, le regard se concentre sur la plante soustraite au passage du temps, et peut ainsi se livrer à la contemplation émerveillée des formes.

En 2017 Blandine Chambost a proposé à Sachiko Morita de réaliser une série de tirages en miroir d’un ensemble de planches botaniques d’une artiste du XVIIIème siècle, Barbara Regina Dietzsch (1706-1783). Hortus Immortalis fait dialoguer les oeuvres de ces deux femmes artistes distantes de deux siècles, qui partagent un même talent pour immortaliser la beauté du végétal. Maniant chacune le pinceau, l’une produit des peintures au rendu quasi photographique, tandis que l’autre réinvente le langage argentique. Saisi par cette singularité, le regard se concentre sur la plante soustraite au passage du temps, et peut ainsi se livrer à la contemplation émerveillée des formes.