Infiniment(s) III, Grand Huit, 2024

Sophie Keraudren-Hartenberger

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Sophie Keraudren-Hartenberger, «Infiniment(s) III, Grand Huit», 2024, photographie : droits réservés
Sophie Keraudren-Hartenberger, «Infiniment(s) III, Grand Huit», 2024, photographie : droits réservés
Sophie Keraudren-Hartenberger, «Infiniment(s) III, Grand Huit», 2024, photographie : droits réservés
Sophie Keraudren-Hartenberger, «Infiniment(s) III, Grand Huit», 2024, photographie : droits réservés
Sophie Keraudren-Hartenberger, «Infiniment(s) III, Grand Huit», 2024, photographie : droits réservés
Sophie Keraudren-Hartenberger, «Infiniment(s) III, Grand Huit», 2024, photographie : droits réservés
Sophie Keraudren-Hartenberger, «Infiniment(s) III, Grand Huit», 2024, photographie : droits réservés

Infiniment(s) III, Grand Huit, 2024

Nantes sur une invitation de Collectif Bonus Exposition personnelle

Tout l’Univers

Infiniment(s)

C’est un mot invariable qui se décline soudain au pluriel : le titre de l’exposition de Sophie Keraudren-Hartenberger, Infiniment(s), questionne l’infiniment grand dans l’infiniment petit et fusionne ces deux échelles de perception en un seul adverbe. Ce dernier raconte différents scénarios d’approche de ce qui est sans bornes, illimité dans l’espace et dans le temps, mais aussi, plus discrètement, de ce qui relève d’une qualité particulièrement intense, voire indescriptible.

Dans la philosophie de Pascal, l’homme est précisément montré alternativement grand et petit, suspendu entre deux infinis, entre deux abîmes : c’est dans ce même suspens que Sophie Keraudren-Hartenberger développe ses recherches formelles, où les processus de fusion tiennent incidemment une place importante.

Eva Prouteau, critique d’art