Je suis dans le tableau, 2019

Makiko Furuichi

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Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019
Makiko Furuichi, «Je suis dans le tableau», 2019

Je suis dans le tableau, 2019

Ateliers Bonus Nantes  Collaboration avec des travaux de Minokichi YASUI, mon grand père paternel, lancement de publication A2

J’ai grandi entourée par les tableaux de mon grand père Minokichi YASUI. Ses tableaux étaient disposés partout chez mes parents, il n’y avait pas d’autres peintures. C’était un peintre que l’histoire n’a pas retenu, cependant premier disciple de Ryusei KISHIDA, peintre classique très connu au Japon. J’ai senti que ma famille avait un grand respect pour mon grand-père, qui perdure encore.
Je n’ai jamais connu mon grand-père Minokichi. Il est décédé en 1965 d’un cancer. Mon père était alors au collège.
Il semblerait qu’il ait été quelqu’un de timide, mais d’après ses autoportraits je sens sa force, son ambition et en même temps sa douceur. J’ai toujours voulu discuter avec lui, savoir comment a pu se passer sa vie en tant que peintre, comment il envisageait sa façon de peindre, que pense-t-il de ce que je fais maintenant, est-il content que sa petite-fille travaille en France…
La collaboration est une sorte de recherche de discussion entre nous deux.