La série des “masques” – une hybridation du tableau et d’un objet/face qui regarde le spectateur-, existe depuis l’origine du travail de Ph. H. Avec la série Maskreen, ces masques deviennent des visages hybridés d’écrans, des masques- masqués en somme, mélant ainsi un archaïsme directement inspiré par les arts tribaux et la technologie la plus actuelle. Comme s’il s’agissait de conjurer ce qui nous regarde.