Mirage obscur, 2017

Pierrick Naud

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Pierrick Naud, «Mirage obscur», 2017, photographie : droits réservés
, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier, 15,5 x 10,5cm
Pierrick Naud, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier, 15,5 x 10,5cm Collection Artothèque d'Angers
Pierrick NAUD, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier, 16 x 10,5cm Collection Artothèque d'Angers
Pierrick NAUD, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier
Pierrick NAUD, «Mirage obscur », 2017, Graphite et vernis sur papier
Pierrick NAUD, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier, 16 x 10,5cm
Pierrick Naud, «Mirage obscur», 2017, photographie : droits réservés
Pierrick NAUD, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier, 15,5 x 10,5cm
Pierrick Naud, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier, 15,5 x 10,5cm
Pierrick NAUD, «Mirage obscur», 2017, Graphite et vernis sur papier, 16 x 10,5cm

Mirage obscur, 2017

Mirage obscur

Dessins intimistes ou dessins dans l’espace, dessins autonomes ou dessins en série, la ligne, l’ombre et la lumière, les notions d’apparitions et de disparitions, la cohabitation de l’humain, du végétal et  de l’animal, l’hybridation, la métamorphose sont les constituants du travail que je développe depuis une quinzaine d’années.

Je pioche dans le quotidien des images que je détourne, superpose, mixe, créant ainsi de l’étrange avec du familier.

Pour cette série je réalise des collages à partir d’une documentation variée (journaux, magazines…), mêlant fragments d’humanité et d’animalité, cherchant une rencontre entre l’homme et l’animal, puis je les reproduis à l’échelle, utilisant différents crayons à papier dans un travail long et minutieux mêlant recouvrement de vernis, graphite, gommage, recadrage… me détachant progressivement de la source photographique cherchant ainsi à donner au dessin son autonomie.

Le travail se constitue de ces strates qui deviennent une surface disponible pour un nouvel investissement – un futur dessin – qui, couche après couche, se révélera au regard telle une photographie en développement .

                                                                                                          Pierrick Naud – mars 2017