20 éléments, peinture acrylique sur carton toilé, 24×30 cm, 2020.
Jean-Christophe Bailly dans la Phrase urbaine (Le Seuil, 2013), jouant sur l’analogie du vocabulaire, de la syntaxe, du rythme, postule que la composition des villes peut s’apparenter à celle d’un langage, dans une tension entre discours et paroles. Le paysage urbain porte des significations multiples aux structures enchevêtrées. Empruntant cette logique, cette série s’intéresse en 20 vignettes à ce qui dans le paysage ferait motif ou encore syntagme – plus qu’un mot et moins qu’une phrase.
Série présentée à la galerie du Phare Boréal, les Sables-d’Olonne, du 11 septembre au 11 octobre 2020.