Pièces sonores

Eva Gerson

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Eva Gerson, «Pièces sonores», photographie : droits réservés.

Pièces sonores

Brûlure au 7ème degré

Durée 5’29

Cette pièce sonore a été écrite lors d’un voyage en Islande, puis exposée à l’école des Beaux arts de Reykjavík. Le texte a été traduit en Islandais grâce à l’aide d’un écrivain rencontré sur place. L’homme traduit le texte dit par la femme puis cela s’inverse, se chevauche. Les deux corps dont il est question se confondent avec le paysage composé de volcans et de glaciers puis finissent par s’y désintégrer l’un brûlé par le feu, l’autre par la glace.

Rêve d’un trio

Durée 4’46

Partant du principe follement utopique qu’on pourrait rêver à trois, les trois voix évoluent à travers un rêve sans queue ni tête, passant de la plage à la grotte musée. Elles sont accompagnées d’une musique qui varie en fonction des espaces du rêve. Cette pièce a été réalisé en collaboration avec Antonin Gerson et Edouard Leboulch.

Le Désert Ombrophile

Durée 5’20

Cette pièce sonore a été réalisé dans le cadre d’un workshop sonore avec Charles Pennequin, présentée lors d’une performance au Panonnica. Deux voix nous entraînent dans un paysage improbable d’un désert humide, on semble y discerner deux corps flottants.

Le roi du désert

Durée 3’00

“Le roi du désert” prend la forme d’un récit qui nous décrit le désert extraversion et ses trois habitants. Il est accompagné d’une sorte de ritournelle entêtante. La voix est celle d’un comédien, Jules Puibaraud.