Schuttberg, 2009

Laurent Moriceau

1/20
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés
Laurent Moriceau, «Schuttberg», 2009, photographie : droits réservés

Schuttberg, 2009

Galerie HAPPYFEW Berlin

Schuttberg, est le titre d’un projet d’édition dont la maquette a été présenté à l’exposition Comme un boomerang à la Galerie HAPPYFEW,  Korsörer Strasse, Ecke Ystader Strasse / 10437 BERLIN, novembre 2009.

L’intention de cette édition était de rendre visible les Schuttbergs. Schuttberg (montagne de débris) est un terme Allemand désignant un monticule de gravats ou un tas de déchets. Beaucoup furent accumulés à partir des vastes dégâts laissés par les bombardements stratégiques de la seconde Guerre Mondiale. Monuments de mémoire à part entière, leur particularité tient en ce qu’ils sont oubliés et tous devenu des paysages liés aux aires de loisirs et de repos.

Ce projet d’édition met en dialogues deux catégories d’images. Les premières ont été collectées au Landesarchiv et elles concernent la construction des schuttbergs à Berlin des années 1950 aux années 1970. La deuxième catégorie d’images présentées est constituée de photos prises en 2009 sur les différents sites nommés “montagne de débris“ au cours de deux séjours dans la capitale allemande.

(Source Wikipédia) Schuttberg (montagne de débris) est un terme Allemand désignant un monticule de gravats ou un tas de déchets. Beaucoup furent accumulés à partir des vastes dégâts laissés par les bombardements stratégiques de la seconde Guerre Mondiale. Plus spécifiquement appelés trümmerberg (montagne de gravats), ces entassements d’après guerre sont aussi surnommés Mont Klamott (Mont de lambeaux), Monte Scherbelino ( Mont de tessons) ou Scherbelberg (Montagne de tessons). On trouve au moins un Schuttberg dans la plupart des grandes villes Allemandes.