Sculptures Portatives, 2019

Charlotte Barry

1/13
Sculptures Portatives © Thomas Bachelier
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», ©Adagp, Paris, 2023, Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019
Charlotte Barry, «Sculptures Portatives», Le Lieu Unique, Nantes, photographie : ©Adagp, Paris, 2019

Sculptures Portatives, 2019

Le Lieu Unique Nantes

Contredire le corps et la sculpture.

La danse rencontre la sculpture qui devient contrainte dans le déplacement du corps : Elle devient poids, tension mais aussi une seconde peau.
La sculpture cohabite avec le danseur qui s’approprie entièrement cette enveloppe imposée. Des gestes qui nous sont naturels, évidents et quotidiens sont contraints.
Par sa performance, il vient déformer, contredire, amplifier et dompter la sculpture. L’ensemble se laisse alors appréhender comme une exposition et joue des volumes, des formes, des matières et des couleurs.
Sculptures Portatives amène à la contemplation, à la déambulation et à l’immersion dans l’espace qu’elle occupe.
Oscillation, ondulation, réverbération, basse fréquence soulignent le mouvement, le geste, le déplacement et la contrainte.
Les sculptures prennent vie et amènent à inverser les rôles.
Le spectateur devient alors le témoin de la création d’un univers, «décalé», grand, contraire, ludique, absurde et onirique.

 

©Adagp, Paris, 2019

Prises de vue : © CLACk