They creep through my fingers to the Deep, 2005

Jacques Alexandre Gillois

1/20
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés
Jacques Alexandre Gillois, «They creep through my fingers to the Deep», 2005, photographie : droits réservés

They creep through my fingers to the Deep, 2005

Galerie Ipso Facto Nantes Exposition avec Pascal Bircher

 » L’habitude de la galerie Ipso Facto est d’inviter deux artistes qui ne se connaissent pas à collaborer, pour une exposition qui peut aller de la simple juxtaposition de deux pratiques à la formulation d’une proposition commune. C’est ce qui a été choisi ici. Jacques-Alexandre Gillois a conçu l’architecture de ce labyrinthe. Pascal Bircher l’a peuplé de signes enchevêtrés, éléments narratifs synthétiques tirés de l’univers du cinéma, de la poésie (le titre de l’exposition est extrait d’un poème de Poe) de la solitude et de l’autarcie psychotique. Les cloisons pivotantes conduisent le labyrinthe à changer de forme suivant les déplacements des visiteurs. Chacun visite donc un complexe différent, découvrant les pièces dans un ordre inédit. L’histoire qu’on élabore en explorant le dédale et ses signes sera différente pour chacun. Le moment venu, celui qui décide de quitter les lieux se rend compte qu’il ne sait plus comment sortir, ses déplacements, éventuellement conjugués à ceux des autres visiteurs, ont complètement changé la configuration des corridors. Et chacun d’errer de nouveau, de corridors exigus en réduits marqués par l’aliénation d’un hypothétique habitant disparu.
Les plus stressés ont parfois mis deux heures à trouver la sortie. «