À l’atelier Legault, Jacqueline Gueux propose une mise en espace d’œuvres où il est question de différence, et de nuance.
Ingrédients :
Echafaudage, readymade 2020: l’échafaudage de chantier de l’Atelier Legault
*Alice, 1991, pastel sur toile découpée 250 x115cm.
*Hélène, 1991, 40 photocopies, recto/verso, 107 x36 cm.
40 pieds métalliques, 25 x30 cm chacun.
*Ce qui est bon pour toi, n’est pas forcément bon pour moi.
Ce qui est bon pour moi, n’est pas forcément bon pour toi. 2004.
Ecritures blanches sur plastique transparent en différentes langues et dialectes
600 x 300 cm, 2 surfaces.
Eight footed man, 1990, extrait, profil droit, et profil gauche, pastel sur carton découpé, 170 x 42cm.
La monochromie sans la monotonie, 2020, photographie sur papier brillant, 21 x 29, 7, impression jet d’encre.
Correspondance, 2019, 2020, vidéo, image : Gérôme godet, son : Jacqueline Gueux.
Divers, 2020, petite vitrine.
*Références, Alice, Hélène, pages 40 à 45.
*Ce qui est bon pour toi, n’est pas forcément bon pour moi. Ce qui est bon pour moi, n’est pas forcément bon pour toi. Pages 180 à 189, Une sculpture de l’idée 2008, Cent lieux d’art, Editions Snoeck, Gand.